des romans gris (noir clair)
 
 
 

Ce qu'en disent

les lecteurs

 

" ... ET POUR UNE DENT, TOUTE LA GUEULE ! "

 

Merci pour ce polar. Je n'arrête pas de me bidonner...
Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de fou rire tout seul...
Même si la facture du roman mélange Tontons flingueurs et San Antonio à tout va , il y a un excellent fil conducteur qui nous tient en haleine... et une densité de détails incroyable.

Bref, ce sera mon drôlar (polar et drôle) de vacances !

 

J'ai d'abord aimé le format dico de poche et la couverture.
Puis ces deux romans. J'ai enchaîné leur lecture avec délectation.
J'ai aimé l'intrigue jusqu'au bout des surprises. J'ai aimé les deux enquêteurs, ils ne payent pas de mine a priori mais ceux là on ne les dupe pas. Quelle persévérance ! Jamais découragés. Flegmatiques mais toujours en état de veille. Car le tout cuit n'arrive que dans les assiettes au restau. Et j'ai aimé ces pauses gastronomiques et les lendemains difficiles.
J'ai aimé le langage cru. Gueule de bois sans langue de bois. Ça sonne « Tontons flingueurs » et les choses sont dites.
J'ai aimé ces personnages bien trempés. Tous sont évoqués avec considération.
J'ai aimé les phrases qui chantent au milieu du récit. C'est de qui cette chanson déjà ? Pierre Perret ?

Alors MERCI Jean-Louis.

Pierre G

 

 

Mès, wice va-t-i cwèri to çoula ?

Cette petite phrase en wallon pour saluer ton inspiration et ton imagination.
Textuellement : "mais où va-t-il chercher tout cela ?".

J'avais emporté le recueil de tes deux romans en vacances mais également La vérité en marche de Zola qui se lit beaucoup plus lentement...
C'est donc seulement ces jours derniers que j'ai relu le premier et engloutit le second toujours avec le même plaisir. Je t'en félicite et t'en remercie.

Jean-Pierre (& co)

 

 

Jean Luc Lesmouches est un détonnant cocktail qui mêle le flegme désabusé du poulpe Gabriel Lecouvreur avec la poésie imbibée pour le style d'un Antoine Blondin dans un singe en hiver... voilà pour les références, pour le reste un roman qui a fait écho en moi par les thèmes abordés, les personnages décrits et le style poétiquement cru pour reprendre les termes ci-dessus. un roman paillard en quelque sorte mais pas que...

Anonyme sur site du Salon des Auteurs Nivernais

 

 

Bonjour,

Je me suis intéressée à votre livre par son titre et sa formule qui me semble apporter un ton "cru", comme vous le dites, qui manque dans la littérature.
Je vais rechercher à lire votre prose car même votre parcours me semble coller à la réalité et me fait croire que vous savez décoller du réel sans le faire disparaître...

Anne sur site du Salon des Auteurs Nivernais

 

 

Félicitations, Man !

J'ai dévoré ta prose avec grand plaisir, et comme promis, voici mon verdict :
Pour la forme : excellent, le style est fluide, la syntaxe est plus que correcte, tu parles bien, tu fais pas de fautes, ton vocabulaire est environ 8 fois plus étendu que celui de Marc Levy (c'est pas dur).
Mon analyse sonne un peu Maîtresse-d'école-du-Pléistocène, j'en suis bien consciente, mais je n'en démordrai pas : un livre bien écrit est plus agréable à lire et procure plus de plaisir que les infâmes torchons Dan Brownesques qu'ont voit pousser partout comme des verrues plantaires.
Pour le fond : bravo pour les références à la-plus-belle-ville-du-monde, que de souvenirs ! La Loire ! Ah, l'impératrice ! Notre Mississipi à nous, indomptable, impassible et monstrueux !
Ceci étant, j'ignorais que tant de canailles rôdaient dans notre bonne ville, ça fait peur...les russes, tu es sûr ???? Comme je perchais à 30 kilomètres, à l'abri de toute cette agitation, les évènements m'auront échappé.
A lire l'évocation des repas qui jalonnent régulièrement ton récit, on sent comme une volonté latente de devenir végétarien, je me trompe ?
Le dialogue avec la prof de violon, très siècle d'or, est purement délicieux. La moribonde qui se dresse sur sa couche en prononçant "c'est Pat Roteaux" comme d'autre diraient "Kayser Söze", est un grand moment de littérature, et la morale, façon "twist-ending", avec le magot atomisé dans son hangar, n'est pas banale.
Tu as assuré, gars, continue.

Isabelle

 

 

Je viens de finir ton livre… le deuxième tome est moins jovial, je trouve mais j’ai bien aimé l’ensemble de ton œuvre.
Je persiste et signe : vivement une petite « rechute » pour clôturer en trilogie…

J’ai particulièrement aimé la postface. Elle m’a touchée. Le vrai « Amiral » devait être un sacré personnage et tu as été chanceux de le côtoyer. Mais cela n’a pas du être de tout repos…

Anne-Laure

 

 

Eh bien, mon ami, tu as un vrai talent. Un talent à la Audiard, une vraie originalité avec ces dosages de référence à la chanson française (j’allais dire la poésie française) la capacité, sans doute jubilatoire, à écrire tant de grossièretés au milieu de tant de moments d’émotion…
Tu mérites vraiment de « percer » dans le milieu du polar, même si je m’en doute « tu t’en tapes » comme dirait un certain Lesmouches.

J’ai l’impression de mieux te connaître même si ce livre n’est ABSOLUMENT pas autobiographique !

Un autre Jean-Luc.

 

 

" DE LA CHEVROTINE DANS LES NOUGATINES "

 

Bonsoir Jean-Louis,

J’ai enfin un peu de temps pour reprendre la lecture et j’ai souhaité renouer avec elle à travers M. Lesmouches.
Un petit gars bien sympathique qui me replonge dans le jargon de mon 9ème arrondissement parisien natal et les mots de mon grand-père.
Je viens de finir le premier livre. J’ai adoré.
Vous savez quand on a envie de sauter des pages pour aller plus vite au dénouement et qu’en même temps on freine des quatre fers car après… on saura et la relecture sera moins intense et donc très lointaine pour y retrouver le même plaisir.
J’aime beaucoup votre : humour, dérision, clins d’œil, paroles de chanson, le cash des répliques, petites références çà et là…
Cela m’a fait maintes fois sourire et rire et ça fait un bien fou…
Merci à vous pour ces bons moments partager à travers vos lignes.
Je suis impatiente de lire la suite !

Amicalement et lectricement vôtre ;-)

A-L

 

Bonjour Jean-Louis,

Je viens de refermer « De la chevrotine dans les nougatines », véritable banquet de Sardanapal pour qui connaît le Nivernais et sa capitale, s’intéresse à la chanson française et à ses nombreux avatars et voue une passion dévorante à ce cher Cent Ans De Tonneaux dont les aventures mouvementées et gargantuesques ont pétri l’enfance d’hénaurmités beruriennes et de salaceries san – antonionesques. Bravo et merci pour ce moment de lecture bouillonnant d’émotion contenue pour une région si attachante et une ville qui mérite d’être connue, visitée, explorée, et donc découverte plus qu’il n’y paraît au premier abord. Bravo aussi pour le credo, distraire, amuser et adresser moult clins d’œil en direction des clients lecteurs, pour peu que ceux-ci disposassent des références ad hoc. J’aime, que dis-je, j’adore. Bref, c’est très sympa. Comme on dit dans le coin : « De la dive rive nivernaise aux pentus coteaux sancerrois il n’y a qu’un pas, comme celui que l’on franchit, l’esprit léger et le cœur chantant, en traversant la rue pour aller s’arrimer au comptoir d’un troquet à un autre. Le fleuve reste le même, le cépage est identique, seule la région change. Foutus fonctionnaires de la Révolution. Fallait-il ne rien connaître aux vins et aux agapes pour tracer un trait si ignoble entre nos deux vignobles…
Cordialement,

L.B.

 

Bonjour,

Je suis une ex-Neversoise habitant à Lyon. De passage à Nevers samedi après-midi, j'ai acheté votre livre.
Votre ouvrage est de la veine de ceux de Charles Exbrayat.
A Nevers, j'habitais à l'angle de la place Carnot et de la rue du Rempart (maison aujourd'hui détruite) : j'avais donc sous les yeux le "café rural". Quand je reviens à Nevers, je ressens l'avenue de la gare et la place Carnot exactement comme vous les décrivez au début de votre livre. Cette impression de déclin me peine car j'ai tant aimé ma ville natale, témoin de mon enfance, de mon adolescence et de mon mariage ! Excusez mon bavardage…. A bientôt.

Daniele F.

 

Jean-Louis,

Je ne suis pas littéraire et je n'ai pas ton verbe qui plus est pour donner mes sentiments sur un bouquin.
J'ai lu ton livre en un week-end, et j'ai ADORE ! Je suis admiratif de ton imagination et des détails qui entourent une ambiance qui m'a très vite séduit.
Contrairement à d'autres, l'intrigue dans ce monde de la ferraille et de la nuit m'a beaucoup plu. Sans que tu aies eu à décrire précisément PRINCESSE, elle séduit le lecteur comme elle a séduit Jean-Luc et même probablement l'auteur. Avec une description précise d'une ville que visiblement tu connais bien et que tu apprécies, elle apporte au noir du contexte, le deuxième soleil. C'est le Yin et le Yang que tu aimes également.
Tu as même réussi à "caser" la formule du rayonnement calorifique, très fort, si cela était un pari, tu as gagné.
J'ai retrouvé l'ambiance, sans te flatter, des polars des milieux marseillais de Jean-Claude Izzo et d'autres dont j'ai oublié les noms.
J'ai aussi éclaté de rire à 4 reprises, vraiment éclaté, sur des expressions précises. Bref, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ton livre et, dommage pour les ventes mais je me dois de le faire passer. Ce sera bon pour le prochain, dis Jean-Louis, dis-moi qu'il y aura un prochain.

Amitié,

Denis

 

Amical bonjour

J’ai lu avec la plus grande attention votre livre et les aventures de Jean Luc Lesmouches ! Ce livre m’a plu ainsi qu'à ma femme. J’ai bien aimé l’emploi des phrases de chansons connues adroitement utilisées et toutes les autres finesses, comme le nom du héros, par exemple !!! L’intrigue, l’amour et le dénouement, la bonne description des personnages et une bonne fin. En résumé, un bon pôle arts gris clair pour passer un moment agréable. Pendant la lecture de ce livre je me suis fait mon cinéma avec des acteurs connus comme Michel Constantin dans le rôle d’un des deux copains qui viennent à la rescousse ! J’attends votre prochain roman !

Christian

 

 

Jean-Louis,

Tu es peux être déjà en vacances en train d'écrire ton deuxième livre... J'ai mis le temps, pas pour lire ton roman, que j'ai dévoré très rapidement, mais pour te dire ce que j'en pensais. Je ne suis pas une bonne critique littéraire, cela dit moi je l'ai trouvé très sympa, il faut dire que mon appétit était aiguisé par la curiosité et ensuite ma faim entretenue par le goût. Et puis j'ai retrouvé comme des connaissances : ça crée tout de suite une proximité avec le livre. Cela dit mes amis aussi l'ont pas mal apprécié et ils ne connaissent pas l'Amiral, eux !
J'aurais du me douter que dans cette partie aussi, tu serais un bon joueur.
Oui, oui, que des compliments, c'est mon jour de bonté.
Bises et au prochain bouquin.

Céline

 

 

Coucou,

Il y a un mois, j’ai ouvert le livre de Jean-Louis… mais c’est Jean-Luc qui, au fil des pages, m’a embarquée dans son histoire ! J’ai oublié mon oncle pour découvrir l’écrivain (à moins que ce ne soit l’écrivain qui m’ait, quelque part, fait découvrir mon oncle…?).
Et puis, comble de l’épicurisme, si cette lecture m’a donné envie de bien manger, elle m’a aussi donné envie de bien boire… alors je crois que, finalement, ce polar aura signé l’arrêt de mort de l’allaitement de Sara ! En tous cas, félicitations sincères et réelles, de ma part et de celle de Philippe qui s’est également régalé.

Marion

 

 

Je qualifie cette première de grande réussite !

J'en redemande ! A bientôt Amicalement

Jean-Yves

 

 

Monsieur,

Malgré la chevrotine, la nougatine est bien passée. Nous nous étions rencontrés au salon du livre de Corbigny, je viens de finir votre roman. Ben mon n'veu, j'ai retrouvé une fibre San antoniesque qui m'a rappelé ma jeunesse (pas si éloignée que çà, 51 printemps, c'est la fleur de l'âge).
J'ai moi même écrit un roman non publié quant à présent mais j'ai dévoré le votre d'une seule traite, bravo bravo et il faut continuer.
Cordialement

Didier F.

 

 

Je te renouvelle mes compliments pour cette oeuvre qui m'a particulièrement plu et que j'ai dévorée sur un week-end. Il faut la lire avec attention pour bien en trouver les subtilités d'écriture et les références associées.
J'ai même versé une larme à la fin tant le dénouement de cet imbroglio est romanesque, prenant et touchant.
Fais nous en beaucoup des romans comme celui là ....
A bientôt sur les ondes...

Amitiés à toi.

Claude

 

 

Ancien élève de St Cyr, ami de Patrick (ndlr : imprimeur du roman) et aussi expatrié en Savoie, j'ai adoré ce livre tendre, plein d'humour avec des personnages attachants.
Cela m'a fait plaisir de me promener dans NEVERS.
Mais où habite l'Amiral exactement ?... et ce club "les trois étoiles" je le voyais bien dans la rue qui longe les voies de chemin de fer côté Montots.
J'ai perdu le nom des rues depuis 1991...
Merci pour les bons moments passés a lire ton livre.

D. SOLDINI

 

 

Je suis parti déjeuner avec ton roman.
Je m'attendais en voyant l'épaisseur du bouquin à le lire rapidement et bien non... il se lit doucement en pesant chaque expression (il y a en a quelques unes que j'essaie de me rappeler, j'ai même mis des signes pour les retrouver et te les piquer)...
Dans tous les cas c'est archi plaisant, je me suis surpris à sourire bêtement dans le restau...
En plus j'en suis à la page 41, et pour le moment il ne s'est presque rien passé (San A., non Jean-Luc a rencontré Béru et a flashé sur une gonzesse dans un bar) mais c'est très sympa, je ne voyais pas le temps passer, c'est mon adjoint qui m'a rappelé par téléphone de venir bosser . . . un comble.
C'est vrai que cela a un petit goût de San A, mais je vais m'y rejeter dès que je peux.

M.R

PS: je te dois toujours 17 euros, mais maintenant c'est avec plaisir !

 

 

Rien à jeter…
Je viens de passer ma première après-midi de vacances de "printemps" devant ma cheminée ... avec ... Jean-Luc LESMOUCHES ...
J'ai été tenue en haleine et j'ai ri comme une baleine.
Je te savais du style mais j'ai découvert ta gourmandise des mots (et pas seulement des gros) qui va bien avec ta gourmandise des mets. Les personnages - qui ne ressemblent que par coïncidence à des personnes ayant réellement existé - sont hauts en couleurs et ton intrigue bien menée ...
Dans l'attente du tome 2, il faut vraiment qu'on fête celui-là ...
Bravo, c'eut été dommage que tu n'écrivasses point dans l'arrière-boutique de notre mercerie !

La grosse Elisa

 

 

… J'ai beaucoup aimé ta plume, j'ai passé des moments délicieux à te lire. Tu précises que ce bouquin ne t'a été inspiré ni par des faits réels, ni par tes souvenirs. Je veux bien te croire mais…
Il t'en a fallu de l'imagination pour penser à une libraire vendant Sainte Bernadette en vitrine et Brigitte Lahaye côté cour… une cordonnerie baptisée "Cuirs et Crépins"… un dancing rétro…
jusque là je veux bien te suivre…Mais décrire avec une telle précision un lendemain de cuite tel que le héros le découvre, je ne peux pas croire que ton imagination renferme tant de talent… Quelqu'un a bien dû te raconter ses souvenirs !


Alain Hartelaub, Comité de relecture, Auteur de romans policiers.

 

 

Tu nous as confié ce manuscrit pour le corriger, et c'est bien le terme qui convient, encore que ce soit plutôt l'auteur qui aurait besoin d'une bonne correction pour tous ces gros mots!!!
Sont-ce sont tes père et mère qui t'ont appris tout çà ou bien les Chers Frères des Ecoles Chrétiennes !!...
Enfin, nous avons tout de même bien ri, encore que certains passages nous ont fait frémir; d'autres nous ont attendri…


Sylviane et Raoul Ducaffy, Comité de relecture


P.S : Mêler Mme Métaut à une histoire de ferrailleurs, il fallait le "faire"…